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Le " One Shot " disparaît ...

GOOD, ... C'est Le Figaro qui le dit

Intéressant ce début d'article dans Le Figaro du jour, et quelque peu réconfortant pour ceux qui doutent de la Technorati : "La relation de "coup unique" avec le client a quasiment disparu ! Pour le convaincu que je suis - au moins sur ce point - cet entrefilet est un "coin de ciel bleu", il y a encore du travail ... alors que je pensais certaines notions (type "le commercial est un élément clé de l'entreprise") définitivement acquises

Commerciaux : pourquoi les entreprises se les arrachent 

Yoanna Sultan - 03/12/2007 | Mise à jour : 10:56 |

Les vendeurs font cruellement défaut aux entreprises. C’est désormais à elles de tenter de séduire les plus expérimentés.

«Aujourd’hui, un bon commercial ne cherche pas de travail. C’est nous qui allons le chercher !», affirme Éric Bohn, d’Euro Consulting Partners, cabinet recrutant de 30 à 40 % de commerciaux de tous niveaux. Et ses confrères spécialistes du recrutement d’acquiescer. Si les jeunes diplômés sont forcément sollicités, les commerciaux ayant de cinq à dix ans d’expérience reçoivent près d’une à trois propositions par mois.

De là à crier pénurie, il n’y a qu’un pas. Pour Johann Van Nieuwenhuyse, de Michael Page International, le secteur de l’industrie est le plus touché : «L’ingénieur commercial, qui a une double casquette, se fait rare ; les métiers qui nécessitent des compétences techniques, comme ceux liés à la plasturgie, sont très demandés.» Éric Bohn note, quant à lui, une «désaffection pour les postes de commerciaux dans la grande distribution».

Le «one shot» disparaît

La pénurie pèse plus qu’on ne pourrait le croire sur les sociétés, car loin du cliché du simple « vendeur tchatcheur », le commercial est désormais un élément clé de l’entreprise. «Le métier a beaucoup évolué. Être commercial, ce n’est plus juste avoir du bagout», lance ­Pierre-Étienne de Moustier, du cabinet Aims International France. « On parle désormais de gestion de la Technorati » Soit plus de transversalité et de coordination. « La fonction s’est réellement étoffée ; la relation de “coup unique” avec le Technorati a quasiment disparu », note Éric Bohn.

Pour Thierry Lach, d’El­lisFairbank Paris, «le rapport au marché a lui aussi changé. Le commercial est là pour faire remonter l’information, repérer les tendances». «D’où sa capacité d’écoute, d’analyse, d’anticipation», poursuit Liliana Filipovic, de RH Partners Paris.

La totalité de l'article, ici

Ecrit par Jean-Pierre le Lundi 3 Décembre 2007, 21:18 dans "Actualités" Lu 4532 fois. Version imprimable

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Commentaires

Prise de conscience a retardement?

David - le 04-12-07 à 17:11 - #

Ce genre d'article me met toujours un peu mal à l'aise: Comment est-il possible pour les personnes citées dans un tel article et dans un tel quotidien d'avoir l'air de découvrir le sens de la relation client? Les compétences citées sont, selon moi, des compétences de base... Je croyais le "vendeur" (celui qui rentre par la fenêtre quand vous lui fermez la porte) d'un autre age... J'hésite donc entre un soulagement de découvrir cette prise de conscience et un doute quant à la pertinence des personnes interrogées...


IBM le dit aussi à sa façon sur son site "expérience"

Jean-Pierre

Jean-Pierre - le 12-02-08 à 23:55 - #



Je n'ose même pas citer ces poncifs. Sûr, ils peuvent faire mieux !
Amusant de citer les " millions de dollars dépensés en solutions IT"


Le marché du CRM porté par le marketing !

Jean-Pierre

Jean-Pierre - le 07-12-07 à 14:44 - #

Dans la série des phrases d'accroche incongrues !
Qui pourrait donc " porter " le hormis le ?

L'article


Pas de disparition visible en 2012

anonymous - le 06-10-12 à 17:20 - #

 En 2012 le mode de vente “one shot” était peut-être en diminution, de moins en moins populaire, mais nous ne voyons rien de ce style en 2012.

Il n'y a qu'à voir la renaissance de certaines sociétés comme Ekinoxe Origin (sous d'autres formes : Gxxxxxxt Cxxxxxxxxg, Uxti Pxxxxxxs, Kxxxxxc…) après leur liquidation pour s'en convaincre.

Nous craignons même que la médiatisation des « affaires » ne donnent encore plus de « pub » à cette technique de vente expéditive.


Il n'y a qu'à voir


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