Voir Sylvie Guillem danser ...
J'y serai à la fin du mois, beau cadeau pour Noël
Connaissez-vous Sylvie Guillem ? Son site ?
J'ai eu la chance de la voir danser quand elle est venue à Bordeaux - le Boléro de Ravel - et c'est un moment inoubliable. On est littéralement hypnotisé, on est dans ses bras alors qu'elle danse la-bas, sur la scène.
Isabelle Danto l'a très bien écrit (elle a déjà vu el spectacle, elle) :
... la présence incomparable de Sylvie Guillem, qui incarne aujourd'hui ce nouvel alphabet du corps en troublant purement et simplement nos perceptions ... Dans Solo, elle ondule dans un cercle hypnotique de lumière avant de tourbillonner pieds nus avec un sens de la ligne à couper le souffle sur la musique du guitariste espagnol Carlos Monttoya. Vêtue d'un pantalon et d'un boléro blancs diaphanes et coiffée d'une perruque rousse à la garçonne, la féminité et la beauté de sa technique classique explosent littéralement, comme son plaisir à danser ... elle fascine, enfermée dans un cube de lumière. Mais le sommet de la soirée reste Push, pas de deux fait de portés audacieux qui défie les lois de la pesanteur et qui commence par la vision de Sylvie Guillem assise sur l'épaule de Maliphant, toute en grâce et en précision. La pièce se poursuit par des glissements, des relevés, des renversés qui jouent sur le déséquilibre, jusqu'à l'évanouissement des corps ... La présence fusionnelle des deux partenaires est hypnotisante. Et Sylvie Guillem s'y révèle émouvante et parfaite, là où on ne l'attend pas.
J'ai eu la chance de la voir danser quand elle est venue à Bordeaux - le Boléro de Ravel - et c'est un moment inoubliable. On est littéralement hypnotisé, on est dans ses bras alors qu'elle danse la-bas, sur la scène.
Isabelle Danto l'a très bien écrit (elle a déjà vu el spectacle, elle) :
... la présence incomparable de Sylvie Guillem, qui incarne aujourd'hui ce nouvel alphabet du corps en troublant purement et simplement nos perceptions ... Dans Solo, elle ondule dans un cercle hypnotique de lumière avant de tourbillonner pieds nus avec un sens de la ligne à couper le souffle sur la musique du guitariste espagnol Carlos Monttoya. Vêtue d'un pantalon et d'un boléro blancs diaphanes et coiffée d'une perruque rousse à la garçonne, la féminité et la beauté de sa technique classique explosent littéralement, comme son plaisir à danser ... elle fascine, enfermée dans un cube de lumière. Mais le sommet de la soirée reste Push, pas de deux fait de portés audacieux qui défie les lois de la pesanteur et qui commence par la vision de Sylvie Guillem assise sur l'épaule de Maliphant, toute en grâce et en précision. La pièce se poursuit par des glissements, des relevés, des renversés qui jouent sur le déséquilibre, jusqu'à l'évanouissement des corps ... La présence fusionnelle des deux partenaires est hypnotisante. Et Sylvie Guillem s'y révèle émouvante et parfaite, là où on ne l'attend pas.
Ecrit par Jean-Pierre le Samedi 2 Décembre 2006, 11:33 dans "Petits bonheurs" Lu 4235 fois.
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